24/04/09 : il pleut pour changer, nous partons pour Penonome, en route de jolies paysages, jungle, foret de nuages, village Ngobe Bugle. Rendus A bon port nous traversons toute la ville pour trouver la pension Estrella Roja une jolie euh...prison!!!!! chiottes et douches si propre que l on oublie de se laver. Diner aux cornflakes, SVP!!!!!
25/04/09 : Penonome-El Valle: Nous sommes venus ici pour visite une communite indigenes, les cucuas ( particularite: leurs tenues a base d ecorce d arbres, cagoules avec des bois de cerfs), concept a voir. Le pick up reste introuvable, trop de mecs bourres a la sortie des cantinas (bar reserves aux hommes) et ce des 7 h du mat, on abandonne...
3h + tard El Valle, jolie petite bourgade, tres fleurie, plus riche ( beaucoup de gens de la capitale ont leur residence secondaire ici ). A-p decouverte du jardin botanique et zoo (tapirs, toucans, magnifique ranarium, Laura le singe araignee qui fait des calins, mais cages trop petites, ca fais mal au coeur). Diner typique Panameen sancocho ( soupe de poulet et manioc) et bistek picado.
26/04/09 : Cette nuit mike a deballe son duvet en 1 er mais pas mel (chaussettes oblige, vive le tue l amour). C est parti pour la rando de la India Dormida a l aide de notre petit guide de 10 ans, Engermo, un peu mito mais gentil. Selon la legende une femme est morte de tristesse car eprise d un autre homme que celui prevu, la mort est venu la figer et son corps serait represente par ses montagnes. Apres 3h de dure montee, nous continuons vers les cascades Las Mozas, mais pas terrible alors nous poursuivons par des sources thermales. Le programme: s enduire le visage de boue puis plonger dans une piscine naturelle a 35 deg, chouette moment a faire you you les indiens... 10 km de marche journee bien rempli.
27/04/09: Journee bus, on le savait mais nos fesses en avaient deja fait abstraction. El Valle-Panama City, salsa a fond a croire qu il sont tous sourds. La city-Colon, plus sympa mais arrive a destination changement de decor: + guetto, + pauvre et + sale. Bus pour Miramar , il faut se faire une place car tout le monde se jette dessus, heureusement un gentil monsieur nous laisse sa place. A bord des grosses mamas degeulasses bouffent et jettent leurs dechets par la fenetre. Miramar, le no man s land, cabinas avec cafard a souhait, on dine chez des locaux sympas...